Qui est Annie Morillon?

  • Longtemps, Annie Morillon a rêvé sur les aventures de Corto Maltese, l'élégant, sur les voyages, les images et les textes d'Hugo Pratt.
  • Longtemps, elle a rêvé de radio en se collant l'oreille au poste dès qu'elle rentrait de l'école, aimant par-dessus tout, le miracle des voix sur lesquelles elle imaginait des visages. Une autre forme de voyage, dit-elle, au pays de quelqu'un.
  • Considèrant qu' "il y a des visages comme des villages. On s'y promène, précise-t-elle, sans en percer les mystères. Parfois, on s'y attarde pour y flâner, parfois on les traverse seulement. Puis il y a des visages et des coeurs que l'on devine remplis de mots, comme les murs de Ben. Des mots comme des oeuvres d'art qu'on a envie de partager dare-dare".
  • Longtemps, Annie Morillon a rêvé de télévision en se disant qu'un jour peut-être, elle réussirait à "passer la main dans le poste".
  • Elle a aussi rêvé de cinéma depuis qu'adolescente elle allait régulièrement avec sa maman au "California" du coin. Le fil conducteur de tous ses rêves : le goût des autres et leurs histoires, au sens noble du terme.
  • Et puis ses rêves se sont réalisés : elle a saisi sa chance en allant rencontrer le papa de Corto et elle a écrit pour un grand hebdo, Télérama. Elle a "fait de la radio" où elle a pu mettre en son et en lumière les autres. A la télévision,elle a réalisé des reportages et des documentaires sur des sujets qui lui sont chers, pour différentes chaînes (Fr2, Fr5, Tf1, Arte, Planète).
  • Avec toujours ce goût de chacun, de son chemin, de ses déliés, de ses pleins, de ses zones d'ombre, de ses lumières et ce besoin indicible d'écouter attentivement, sans jugement , "pour aider éventuellement à "accoucher de son histoire", en mots, en images et surtout en partage".
  • C.M.

Dossier de presse sur A. Morillon, une auteur réalisatrice

ecrire pour suivre le chemin de l'autre

Extrait d'entretien avec Annie Morillon

"J'ai, depuis toujours, l'amour de l'écrit, de l'image aussi et avant tout : le goût de mes contemporains, pour tenter de les comprendre sans jamais les juger comme disait S. Zweig (cf la phrase en bas de page ...). C'est ce que je fais depuis deux décennies en presse écrite, en radio et en télévision.

Je propose de mettre cette expérience au service de ceux qui souhaitent transmettre l'histoire de leur vie

Léguer son Histoire n'est-il pas un magnifique cadeau, un véritable héritage pour les siens ? Mais aussi un travail en miroir. Transmettre nos expériences, nos réussites, nos échecs, nos questionnements, nos aventures et nos savoirs ... Comprendre et donner à comprendre d'où l'on vient pour mieux construire ou "retricoter" sa vie, d'autant dans une société de familles recomposées, décomposées parfois aussi.

J'ai toujours fait mon métier en ce sens avec cette image proche de la sage-femme voire de la femme sage ... Du moins j'espère. Et, je le répète : cette obsession du partage.

Un livre qui raconte sa propre histoire, sincère, celle que l'on a envie de transmettre, quelquesoit son âge, n'est-il pas au fond la plus belle lettre d'Amour ? "

lettres et histoire
écrivain public 75
biographe paris

J'ai, personnellement, plus de plaisir à comprendre les hommes qu'à les juger - Stefan Zweig


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